Les origines
C’est dans le milieu des années 70 que ses fondateurs, John GRINDER (linguiste et psychologue) et Richard BANDLER (mathématicien et psychologue) ont posé les bases de cette discipline aujourd’hui mondialement reconnue.
Ils ont su établir les complémentarités entre la sémantique, l’approche systémique, la cybernétique, les travaux de l’école de Palo Alto et les recherches sur le fonctionnement cérébral.
Leur objectif n’est pas de développer une théorie, il en existe déjà de nombreuses, mais plutôt de créer un modèle efficace.
Ils ont donc commencé par observer, écouter et toucher du doigt les comportements, les stratégies, les procédés utilisés par ceux pour qui la communication est un phénomène facile à mettre ne oeuvre, de naturel, d’automatique. Ils se sont attachés davantage au comment plutôt qu’à la théorie de laquelle ils se réclament ou à tout ce qu’ils pouvaient dire.
C’est ainsi qu’ils sont allés observer des thérapeutes tels Virginia Satir (thérapies familiales), Fritz Perl (fondateur de la Gestal thérapie), Milton Erickson, hypno thérapeute hors du commun, père des thérapies brèves, mort en 1980 et celui chez qui ils ont certainement le plus emprunté, et bien d’autres encore professionnels de la communication venant d’horizons tels que le management et la pédagogie.
La PNL est une discipline vivante. En effet, nombreux sont ceux qui continuent à l’enrichir en créant de nouveaux modèles à partir de la méthode de base de ses fondateurs : la modélisation.
Celle-ci permet d’établir une « cartographie » très précise d’une compétence et de la transférer à une personne qui désire l’acquérir en repérant les plus petits changements à opérer.